Dans ta sphère sereine - oh ! tu fus bien - repose
Impassible, certain que jamais nul affront,
Rien de tout ce qu’on dit, rien de tout ce qu’on ose,
Ne ternira l’éclat dont rayonne ton front.
Ayant moulé le bronze, – ô noble forgeron !
Que t’importent ceux-là que l’œuvre grandiose
Fait bondir de colère ! en vain ils baveront :
Ils prendront part quand même à ton apothéose !
Oh ! oui, garde ton calme ainsi que ta fierté ;
On finira, demain, par comprendre ton rôle
Dans son côté sublime ; et la postérité,
Déposant sur ton front une blanche auréole,
T’invoquera souvent comme un vivant symbole
Du travail cimentant l’Ordre et la Liberté.
Impassible, certain que jamais nul affront,
Rien de tout ce qu’on dit, rien de tout ce qu’on ose,
Ne ternira l’éclat dont rayonne ton front.
Ayant moulé le bronze, – ô noble forgeron !
Que t’importent ceux-là que l’œuvre grandiose
Fait bondir de colère ! en vain ils baveront :
Ils prendront part quand même à ton apothéose !
Oh ! oui, garde ton calme ainsi que ta fierté ;
On finira, demain, par comprendre ton rôle
Dans son côté sublime ; et la postérité,
Déposant sur ton front une blanche auréole,
T’invoquera souvent comme un vivant symbole
Du travail cimentant l’Ordre et la Liberté.
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